La mention "nouvel article" vient de réapparaître sur la barre ! Anne Jalevski va pouvoir simplifier ses démarches narcissiques ! Renseignons-nous Folleville !
Ca, ci-dessus, c'est aux Îles Sanguinaires près d'Ajaccio.
b) les raisons pour lesquelles nous y sommes, ( trois pages) le froid ou le chaud selon les saisons, et 1) ceux qui nous hébergent, 2)nous leur devons de l'argent et des services, voilà pourquoi nous sommes là, tous les ans depuis des années, 3)je n'ai jamais pu déterminer si mon mec (je ne suis pas homosexuel, nous nous débrouillons chacun de notre côté) couche ou non avec le mâle, cf. aussi le bossu d'Issigeac et cet hôtel abandonné. I, b, 1) ceux qui nous hébergent. Soixante-dix, quatre-vingts fois, nous avons débouché dans cette salle sentant la cendre été comme hiver, frissonnant le matin sous nos peignoirs troués, retrouvaut sur ma table invariablement les toasts saisis à point, ou ramenant sur nous les pans inusités de nos habits de vie, car nous couchons nus et ne noue réajuqtons que pour des besoins de décence. L'été, la porte intérieure s'entr'ouvre, et déjà nos hôtes sont là, souriants, prévisibles, humains. Comme
À l'heure où je suis, Hercule n'est pas encore crevé. Sa femme a voulu se tuer, son fils Hyllas-Danlecus court après sa môman pour l'empêcher de se trucider. Pendant ce temps-là, le chœur, qui n'en a rien à foutre, commence une de ses longues jérémiades sur le sort humain, la température de l'eau fraîche et le nombre de cons au km² en Béotie. Preuve s'il en était besoin que le théâtre antique se moque éperdument du dénouement, puisque tout le monde le connaît, et ne vise qu'à un besoin de liturgie : de même, à la messe, tout le monde sait comment cela se termine. Le chœur pousse donc sa chansonnette morose : en italiques, les traducteurs s'infligent et nous infligent « les bêtes fauves elles-mêmes » qui viennent «avec leurs repaires », tant qu'à faire, afin d'écouter sant François pardon – Orphée, le bel Orphée. De même, le spectateur ravi et somnolent se farcit-il pour la nième fois la fable des lions et des troupeaux qui viennent bo
C'était dans les années 50, les illustrations étaient impeccables, le père, la mère et les enfants tirés à quatre épingles, sportifs et propres sur eux, et le garçon portait les cheveux en brosse. Pas une trace de la guerre. Et le petit Duden enchaîne par une série de mots composés sur le radical « Dach- » : D?ch-bo|den, accent tonique sur le « a ». « Sol de toit » ? « Le professeur d'allemand » (celui d'Andernos)précisait que la difficulté du vocabulaire allemand provenait du caractère imprévisible de la fixation du sens des mots composés par l'usage au cours des siècles ; c'est ainsi que j'avais eu le plaisir pervers de lui apprendre que « Durchbruch » pouvait aussi vouloir dire « la diarrhée », ce qui est indispensable dans une conversation de bon ton. Pour Dachboden, j'ai le choix entre plancher, plafond ou combles. Bien évidemment, le dictionnaire bilingue de mon père ne suffit pas. Le mien, enfin retrouvé (le dictionnaire), me confirme en effet :
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